HOP !, filiale du groupe, sera dorénavant commercialisée sous le nom Air France HOP - DR : Air France
Après Joon, Benjamin Smith s’attaque à Hop!.
Le groupe Air France-KLM a rendu officielle sa décision de changer de nom sa filiale court-courrier!, et d'intégrer ses opérations sous le pavillon Air France.
« Air France annonce que son offre commerciale sur les liaisons court-courrier effectuée par la flotte régionale de la société HOP !, filiale du groupe, sera dorénavant commercialisée sous le nom Air France HOP », explique la compagnie ce vendredi 1er février 2019.
« Il s’agit d’une nouvelle étape dans le processus de simplification du portefeuille de marques d’Air France-KLM visant à apporter plus de cohérence avec l’offre commerciale globale du groupe », est-il aussi indiqué.
« Cette évolution permet de rattacher plus distinctement cette offre à la marque Air France, et la renforce en en faisant l’unique point de repère des clients souhaitant voyager sous la livrée tricolore ».
Pour Benjamin Smith, à la tête depuis septembre 2018 du groupe aérien franco-néerlandais : « cette évolution est une étape supplémentaire pour asseoir la puissance de nos marques et accroître la lisibilité et la cohérence globale de l’offre du groupe Air France-KLM ».
Le groupe Air France-KLM a rendu officielle sa décision de changer de nom sa filiale court-courrier!, et d'intégrer ses opérations sous le pavillon Air France.
« Air France annonce que son offre commerciale sur les liaisons court-courrier effectuée par la flotte régionale de la société HOP !, filiale du groupe, sera dorénavant commercialisée sous le nom Air France HOP », explique la compagnie ce vendredi 1er février 2019.
« Il s’agit d’une nouvelle étape dans le processus de simplification du portefeuille de marques d’Air France-KLM visant à apporter plus de cohérence avec l’offre commerciale globale du groupe », est-il aussi indiqué.
« Cette évolution permet de rattacher plus distinctement cette offre à la marque Air France, et la renforce en en faisant l’unique point de repère des clients souhaitant voyager sous la livrée tricolore ».
Pour Benjamin Smith, à la tête depuis septembre 2018 du groupe aérien franco-néerlandais : « cette évolution est une étape supplémentaire pour asseoir la puissance de nos marques et accroître la lisibilité et la cohérence globale de l’offre du groupe Air France-KLM ».
Vers une restructuration ?
Ce changement de nom sera-t-il doublé d'une restructuration complète de Hop! ?
Née il y a six ans de la fusion progressive des anciennes Britair, Régional et Airlinair, la compagnie domestique du groupe Air France-KLM est malmenée économiquement par la concurrence des lignes low cost et des lignes de TGV, mais également par le blocage interne de « scope clause ».
Ce dernier, mis en place par les pilotes d'Air France, interdit à leurs confrères de Hop! de piloter des appareils de plus de 100 sièges, ce qui est vu par ces derniers comme un frein au développement de la compagnie.
Inquiets du sort de leur compagnie, les responsables syndicaux avaient mené plusieurs actions, dont une grève inédite à l'été 2017, et avaient finalement été reçus par Benjamin Smith le 9 janvier dernier.
Lequel, sans cacher ses interrogations sur le nom même de la marque, leur avait toutefois assuré son attachement à la compagnie et en particulier à son rôle d’alimenter les hubs de Paris.
Sans toutefois entrouvrir la porte à une fusion pure et simple des effectifs Hop! au sein de la maison mère, comme Benjamin Smith l’a déjà acté pour Joon.
En fin d’année 2018, une restructuration a déjà été annoncée par Alain Malka, directeur général adjoint de Hop!, et prévoit deux plans de sauvegarde pour l’emploi (PSE) portant sur 126 et 120 postes, une centralisation des bureaux et surtout une homogénéisation de la flotte qui ne comportera plus que des CRJ100 de Bombardier et des Embraer 145, 170 et 190.
Née il y a six ans de la fusion progressive des anciennes Britair, Régional et Airlinair, la compagnie domestique du groupe Air France-KLM est malmenée économiquement par la concurrence des lignes low cost et des lignes de TGV, mais également par le blocage interne de « scope clause ».
Ce dernier, mis en place par les pilotes d'Air France, interdit à leurs confrères de Hop! de piloter des appareils de plus de 100 sièges, ce qui est vu par ces derniers comme un frein au développement de la compagnie.
Inquiets du sort de leur compagnie, les responsables syndicaux avaient mené plusieurs actions, dont une grève inédite à l'été 2017, et avaient finalement été reçus par Benjamin Smith le 9 janvier dernier.
Lequel, sans cacher ses interrogations sur le nom même de la marque, leur avait toutefois assuré son attachement à la compagnie et en particulier à son rôle d’alimenter les hubs de Paris.
Sans toutefois entrouvrir la porte à une fusion pure et simple des effectifs Hop! au sein de la maison mère, comme Benjamin Smith l’a déjà acté pour Joon.
En fin d’année 2018, une restructuration a déjà été annoncée par Alain Malka, directeur général adjoint de Hop!, et prévoit deux plans de sauvegarde pour l’emploi (PSE) portant sur 126 et 120 postes, une centralisation des bureaux et surtout une homogénéisation de la flotte qui ne comportera plus que des CRJ100 de Bombardier et des Embraer 145, 170 et 190.
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